Mais aussi, comment nos élites, vivant dans cette lumière perpétuelle, pourraient-elles comprendre les préoccupations de nos paysans qui vaquent encore dans la peur des ténèbres, dans les mystères des superstitions et de la religion primitive, pour lesquels n’existe que l’angoisse d’une récolte dont ils ne maitrisent ni la croissance ni le profit final?