Ne tombons pas dans le travers vulgaire qui est de maudire et de déshonorer le siècle où l’on vit. Érasme a appelé le seizième siècle « l’excrément des temps », fex temporum ; Bossuet a qualifié ainsi le dix-septième siècle : « temps mauvais et petit » ; Rousseau a flétri le dix-huitième siècle en ces termes : « cette grande pourriture où nous vivons ». La postérité a donné tort à ces esprits illustres.