D’abord, un temps « Rock’n’roll cow-boy » à la Nino Ferrer, Victor s’était illustré dans des affiches de concerts rock, projets musicaux, avec tout ce que l’iconographie de cette culture peut diffuser sous l’emblème de la tête de mort et des squelettes qui jouent des castagnettes. A la limite gore mais sans le sang impur qui abreuve nos sillons, au temps des disques vinyles. Au point d’ailleurs de sortir deux albums rock avec son frère Jean-Louis Marco, lui-même dessinateur.
- Bénédicte ! La situation est assez compliquée pour que nous n'ayons pas à gérer tes crises hystéro-paranoïaques en plus ! Continue à te laisser aller comme ça et tu me verras contraint de faire un rapport au D.R.H. dès notre retour !