Ici le métro sort de terre, emmenant les travailleurs vers la lumière pour leur faire oublier leur statut de relégués en seconde zone. Quand le métro devient aérien, c'est jamais bon signe. On quitte définitivement des quartiers où le bruit dérangerait ses habitants. Là, les vitres peuvent trembler, les trains peuvent hacher avec régularité le sommeil ; la fatigue d'une journée de travail suffit pour ne pas l'entendre.