En disant que ses pensées et ses sentiments sont dans la tête de chacun, le malade exprimera seulement à l’aide de mots et de concepts – qu’il emprunte à son stock de souvenirs d’un stade évolutif ultérieur – que sa libido se situe à un stade où il s’identifiait encore au monde extérieur, où il n’avait pas encore fixé les limites de son moi par rapport au monde extérieur, et qu’il est donc encore obligé maintenant d’abandonner les relations d’objet intellectuelles normales, pour autant qu’elles dépendent d’une position régressive de la libido.