Savoir que ça lui plaisait aussi décuplait mon plaisir autant que le faisaient ses larmes. Je n’avais qu’à rester immobile et regarder cette femme magnifique me baiser avec sa chatte toujours trempée. Je serrai ses fesses dans mes mains, ma bouche toujours collée à la sienne. Ma queue ne voulait jamais quitter cet endroit chaud et doux. Elle voulait jouir en elle, encore et encore…