Je n’avais jamais entendu parler d’une femme ayant besoin de tant de temps pour être ouverte, mais ça me plaisait. Lorsqu’elle se serait enfin habituée à mon gabarit, elle ne voudrait plus jamais d’un autre homme. Les autres bites seraient beaucoup trop petites en comparaison ; elles ne pourraient jamais la satisfaire.
Elle était sublime, qu’elle porte une robe légère ou qu’elle soit couverte de la tête aux pieds. Et malgré ses moyens limités, elle savait toujours choisir des tenues qui la mettaient en valeur. Elle s’approcha de moi et me prit le verre des mains, alors que je n’en avais bu qu’une gorgée.
Elle était comme une poupée avec laquelle j’aimais jouer, toujours précautionneusement de peur de la casser. Ma main remonta jusqu’à sa joue, qui rougit à mon contact.
Je bandais déjà, mon érection si imposante que mon boxer la contenait à peine. Une goutte avait souillé le tissu, signe évident de mon excitation que je n’aurais pu masquer même si je l’avais voulu. Je baissai mon boxer pour libérer ma queue palpitante et la révéler à la femme devant moi.
Savoir que ça lui plaisait aussi décuplait mon plaisir autant que le faisaient ses larmes. Je n’avais qu’à rester immobile et regarder cette femme magnifique me baiser avec sa chatte toujours trempée. Je serrai ses fesses dans mes mains, ma bouche toujours collée à la sienne. Ma queue ne voulait jamais quitter cet endroit chaud et doux. Elle voulait jouir en elle, encore et encore…
Sa peau était aussi pâle qu’un nuage et douce comme un pétale de rose. Tout chez elle était parfait. C’en était presque irréel, comme si un chirurgien avait créé une femme au corps idéal. Mais pourquoi travaillait-elle au département marketing ? Elle aurait dû être l’égérie de sa marque.