Ou la quotidienne et matinale scène des poulets (justement) dont les pattes sont passées au-dessus du feu par ma grand-mère et ma tante afin de brûler les minuscules plumes -- de simples résidus -- restées accrochées à ces presque mains jaunes et alvéolées repoussantes qui vont être tranchées d'un coup de hachoir alors que l'odeur si caractéristique du poil grillé envahit la pièce.