"- Est-ce que tu sais ce que j'ai enduré, la dépression qui a suivi Vivaldi. Les mois dans le noir.L'angoisse devant mon violoncelle que je ne pouvais plus toucher, la terreur de ne plus pouvoir jouer, jamais? Est-ce que tu peux seulement imaginer ce que c'est, après une lutte effroyable contre soi-même, que de reprendre sa musique et de constater que l'on ne ressent rien? Plus rien!"