C’est quelque chose de très beau de voir la vraie bruyère sur les tombes, l’odeur de térébenthine a quelque chose de mystique, la ligne sombre des sapins clôturant le cimetière sépare un ciel étincelant d’une terre rude qui, en général, est rose, fauve, brunâtre, jaunâtre, avec cependant partout des tons lilas.
DRENTHE (septembre 1883 - novembre 1883)