Le passé, notre passé, ressemblait au labyrinthe des canaux dans le bayou. Certains d'entre eux débouchaient sur l'eau libre, les autres conduisaient plus loin, toujours plus loin, vers l'inconnu. Il faudrait du courage pour s'y aventurer, mais j'avais confiance : je ne doutais pas de m'embarquer un jour, moi aussi.