Un soupir, un dernier, sur ma défaite
Peu de temps m'aura été donné
Celui de dire, celui de trouver les routes
Qui mènent à soi, à l'autre là-bas
Que je ne connaîtrai pas...
Je ne suis qu'un souffle qui s'éteint
Des mots pour s'accrocher, pour accorder le hurlement du vent à sa vie, à l'espoir.