Il ne se sent ni triste, ni désespéré. C'est une autre humeur, qu'il ne connaît pas. Un bruit blanc. L'image qu'avait l'écran de télé, la nuit, quand il était plus jeune. Un brouillard de points, un chuintement. Il n'y a plus que le froid qui lui paraisse bien réel. (p.346)