La mort n’a aucun amour-propre. On a beau l’ignorer, la détester, la haïr, elle rentrera toujours à la maison. À l’improviste, comme un courant d’air sous la porte. Redoutée, comme une vieille habitude de la famille que l’on voudrait oublier. Elle aura toujours sa gamelle posée près de la table. Elle aura toujours quelqu’un à se mettre sous la dent.