« Perso, je ne sais pas de quoi il s’agit, mais mon corps le traduit comme si j’avais pris un camion en pleine face. Mon corps s’est décomposé sous la violence de la percussion. Les roues sont passées et repassées sur lui pour bien l’aplatir. Celui-ci est disloqué un peu partout, et aucune partie de moi ne peut reconstruire le puzzle. Je suis épuisée, déchiquetée, perdue, vidée. C’est peut-être ça, un état de choc. »