Les vieilles femmes portaient les fagots de joncs et les poutrelles. Comme tant d’autres avant elles, elles répétaient les gestes et disaient les paroles sacrées. Si l’une d’elles venait à trébucher ou à laisser tomber sa charge, la mort l’attendait, inéluctable. C’était ainsi depuis bien des nuits et jamais, il n’en fut autrement, sauf cette année-là…