Et avant de dormir, on fonce encore dans le jardin du Taré - pour lui souhaiter bonne nuit. Il est en sentinelle, il arpente son jardin de long en large avec son fusil, et on lui crie, bonne nuit, Sergueï Stepanytch, ne t'endors pas ou on foutra le feu à ton jardin, et il crie foutez le camp d'ici vauriens, je plaisante pas.
Et maintenant tout le monde rentre à la maison. Et demain - on refera tout exactement pareil