Il m’a souvent été dit, par des femmes aux maîtres décents, qui n’avaient pas la moindre idée des attentats perpétrés sur leurs sœurs moins fortunées : « Pourquoi ces épouses ne partent-elles pas ? »
Pourquoi ne courez-vous pas, quand vos pieds sont enchaînés l’un à l’autre ? Pourquoi ne criez-vous pas, quand votre bouche est bâillonnée ? Pourquoi ne levez-vous pas les bras au-dessus de vos têtes, quand on vous les plaque de force le long du corps ?