Citation de Cielvariable
Il était une fois, dans un pays lointain, un grand et magnifique château. Dans ce château vivait un jeune prince, comblé de richesse mais orgueilleux, égoïste et capricieux.
Par un soir de grand froid, une mendiante frappa à la porte du château et supplia qu'on lui accorde un abri pour la nuit. En échange, elle offrait sa seule richesse... une rose.
Le prince, d'un geste dédaigneux, repoussa son offrande. Puis il ordonna à ses domestiques de la chasser.
Pour punir le prince, la veille femme qui était en réalité une enchanteresse, le changea en une bête hideuse, cornue et griffue.
Elle lui donna un Miroir enchanté et lui laissa la Rose. Pour briser le sortilège, le prince devrait apprendre à aimer quelqu'un et, avant que ne se flétrisse le dernier pétales, s'en faire aimer en retour.
Sinon, il resterait à jamais une bête.
Par un soir de grand froid, une mendiante frappa à la porte du château et supplia qu'on lui accorde un abri pour la nuit. En échange, elle offrait sa seule richesse... une rose.
Le prince, d'un geste dédaigneux, repoussa son offrande. Puis il ordonna à ses domestiques de la chasser.
Pour punir le prince, la veille femme qui était en réalité une enchanteresse, le changea en une bête hideuse, cornue et griffue.
Elle lui donna un Miroir enchanté et lui laissa la Rose. Pour briser le sortilège, le prince devrait apprendre à aimer quelqu'un et, avant que ne se flétrisse le dernier pétales, s'en faire aimer en retour.
Sinon, il resterait à jamais une bête.
