(...) Dans ma lettre du 3 novembre 1937, je vous ai entretenu d'un livre, " Le Merinos", de Henri Calet.Je vous fait communiquer " Fièvre des Polders" que le même auteur vient, après une pause de trois ans, de publier. La qualité assez remarquable de ce roman fait comprendre que Calet ne peut pas se conformer au rythme de production habituel aux romanciers, à savoir un ou deux volumes par an.
( p.145)