Il acheva le rituel par un dépôt de tabac devant la bête morte, une manière de rendre grâce au Créateur et à Mère Nature, qui lui avaient permis de soustraire sa proie au monde des vivants. D’après ce qu’il comprenait des coutumes anichinabées, on devait toujours compenser par une offrande ce que l’on prenait.