Le but du crime d’honneur n’était ni la punition ni la vengeance. Si tel avait été le cas, la tuerie aurait pris fin avec la mort du premier assassin. Non ! Il s’agissait plutôt de laver l’honneur d’une famille en tuant n’importe quel membre de celle de l’offenseur, et, bien sûr, cette victime appelait à son tour un nouveau crime rituel. Une ronde sans fin.