Plus de différence, non plus, entre les faits, leur interprétation et les conclusions pratiques que l'on en tire. Énoncer un fait déplaisant, inconvenant, entraîne une quasi-censure au nom du risque que l'on en tire des conclusions politiquement incorrectes. C'est cela la censure médiatico-démocratique, dont je disais qu'elle prépare un certain retour du délit d'opinion, retour dont on perçoit des prodromes dans la législation récente.