Avec de l'imagination l'écrivain se sentirait dispensé d'observer les choses dans le seul but de les mettre par écrit ensuite. Il serait là pour apprécier, pour goûter, pour convier le monde libre, pas un monde qu'il transporterait comme un sac de provisions, craignant toujours de laisser échapper quelque chose ou qu'un autre ait plus que lui.