« Je fis à vélo un tour complet de sa personne et m’arrêtai près de lui. C’était René qu’il lisait. Je mis mon bras sur son épaule et, à haute voix, lu toute une page du livre. Puis, me penchant sur son épaisse bouche, je l’embrassai un très long temps, libérant l’abondance d’un cœur dilaté à craquer. »