La plupart des avocats, à un moment donné de leur carrière, frôlent la crise cardiaque à cause des délais imposés par les tribunaux. Si c’est une inclination humaine que de faire traîner les choses, les avocats en font leur credo. Du moins jusqu’au jour où ils sentent le vent du boulet. Dès lors, l’épouvante leur inspire une obsessionnelle diligence.