Ce meurtrier là ne m'inspirait pas. Parce qu'il avait tué, bien sûr mais aussi parce qu'il avait tué, bien sûr, mais aussi parce qu'il se payait de notre tête. Parce qu'il refusait de se soumettre. Parce qu'il restait maître du jeu.
Quand je découvrirais enfin son nom et osn visage, je me contenterais d'ajuster mon mépris à la réalité de son personnage. p 45