Les premiers essais de paysage alpestre révélèrent tout un monde nouveau dont aucun modèle antérieur n’avait fixé dans l’art le caractère puissant et sauvage. On découvrit les mêmes richesses imprévues dans les inspirations de l’histoire nationale, et le cycle de la peinture alpestre, une fois ouvert, arriva bientôt à la plus haute expression qu’il lui fût permis d’atteindre.