Je ne peux me souvenir de tous ces contes fugaces, mais de ceux qui me sont restés, en voici quatre. Tous se posèrent sur moi tels des oiseaux volant dans les ténèbres. Je ne sais d'où ils venaient, ni sur quels vents ils avaient dirigés leur course mystérieuse. Ils étaient là, c'est tout. Les choses du passé revivaient dans le cerveau d'Ian, nées des jours sombres afin d'être vues à nouveau à travers les merveilleuses lentilles de son imagination.