C'est la vie qui te tue, c'est la vie qui doucement te lamine et qui finit par te fermer les yeux.
C'est la vie doucement qui t’écœure et te fatigue, de passer par des hauts et des bas, sans arrêt faire l'ascenseur.
C'est la vie qui te tue sans avoir l'avoir l'air d'y toucher, qu'à un moment tu vois, t'as plus envie de passer par des hauts et des bas, de jouer au lifter et tu décides de te coucher pour le compte.