Jusqu’à son évasion du camp, Jaroslaw n’avait connu que la solitude. De force, puis de gré, elle avait fini par devenir son alliée, sa compagne, sa ressource de vie. Depuis Adrian et Joanna, depuis les hommes de la ligne, elle s’était retirée à reculons, tapie comme un chat sous l’armoire. Discrète, invisible – toujours prête.