En général, les parias du troisième étage n’ont plus jamais de visites, ils vivent dans l’antichambre du paradis en enfer précisément, reclus, les yeux dans le vague, dépendants comme des nouveau-nés. Même quand leurs pyjamas sortent de la machine à laver, ils semblent sales. Les résidents du troisième sont seuls comme des rats.