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Biographie :

Yannick Resch, spécialiste de littérature française et québécoise, est professeur à l'Institut d'études politiques d'Aix-en-Provence.

Auteur de plusieurs biographies dont le récent "Gaston Miron. Tel un naufragé", Aden, 2008.

Elle est aussi coéditrice des oeuvres de Colette à la Pléiade.

De 1976 à 1979, elle produit pour la télévision française trois documentaires qui témoignent d'un engagement profond envers l'Acadie, la Louisiane et le Québec.

Au début des années 1980, elle est chargée de cours au Département d'études littéraires de l'Université du Québec à Montréal (UQAM), où elle enseigne la littérature québécoise. Elle obtient en 1985 un doctorat d'État sur la littérature québécoise à l'Université d'Aix-Marseille I. Tout au long de sa carrière de professeure à l'Institut d'études politiques d'Aix-en-Provence, elle ne cesse d'enseigner l'histoire du Québec ainsi que sa littérature et sa culture, qu'elle a aussi enseignés à l'Université Paris-Sorbonne (Paris IV) et à l'Institut d'études politiques de Paris.
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http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=44970&motExact=0&motcle=%E9crire%20danser%20vie&mode=AND ECRIRE / DANSER LA VIE Colette et Isadora Essai Yannick Resch Amarante LITTÉRATURE EUROPE Croiser les vies tumulteuses de l'écrivain Colette et de la danseuse américaine Isadora Duncan peut appartenir à la fiction. Que ce soit dans l'alchimie secrète de l'écriture ou dans la chorégraphie révolutionnaire de la danse, Colette et Isadora Duncan ont su dire le plaisir, construire leur indépendance et interroger autrement les frontières du féminin et du masculin. ISBN : 978-2-343-04556-6 ? 15 novembre 2014 ? 202 pages Prix éditeur : 19 ? 18,05 ?

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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Madame Vigée-Lebrun
Peintre français (1755-1842)
Louise Élisabeth Vigée, fille du peintre Louis Vigée, a douze ans à la mort
de son père. Douée pour la peinture, elle se fait rapidement connaître.
Elle suit les conseils de Vernet et de Greuze, qui lui ouvrent les portes
des collections privées des grands seigneurs ou des princes. Elle épouse
en 1776 un marchand de tableaux renommé, Jean-Baptiste Lebrun, dont
elle a une fille. Bien qu’elle soit roturière, sa beauté et son talent lui
ouvrent les portes des milieux aristocratiques. En 1778, elle réalise son
premier portrait de la reine Marie-Antoinette*. C’est la gloire immédiate.
Très vite elle devient la portraitiste attitrée et la confidente de
Marie-Antoinette dont elle fait un nombre impressionnant de portraits.
Dès le tout début de la Révolution, elle émigre à l’étranger. Elle vit douze
ans en exil, parcourant l’Europe tout en développant sa célébrité.
Durant son périple, elle devient membre des Académies de Florence,
Rome, Bologne et Saint-Pétersbourg. Elle est demandée dans toutes les
grandes cours, en Italie puis en Autriche et en Russie en 1795, où,
accueillie par l’impératrice Catherine, elle fait le portrait de Stanislas
Poniatowski, roi de Pologne.
Rentrée en France en 1809, elle vit jusqu’à l’âge de quatre-vingt-sept
ans, entourée de nombreux amis. Elle laisse 660 portraits et 200
tableaux de paysages, et un recueil de Souvenirs (1835-1837).
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Rosalba Carriera
Portraitiste italienne (1675-1758)
Née à Venise, dans une famille d’artistes de milieu modeste, elle
commence par gagner sa vie comme dessinatrice de dentelles. Suite à
la rencontre d’un peintre français, Jean Steve, elle se met à décorer des
tabatières. Ces boîtes à tabac, ornées de miniatures sur ivoire connaissent
un grand succès. À partir de 1698, elle passe au pastel. En 1705, elle
est admise à l’Académie Saint-Luc de Rome. En 1715, le financier et
amateur d’art Pierre Crozat lui rend visite et l’invite à venir à Paris où elle
se rend en 1720. Elle est reçue à l’Académie royale de peinture, rencontre
d’autres peintres comme La Tour et Watteau qu’elle admire. Son art
suscite l’admiration de connaisseurs pour l’éclat de son coloris, tels que
le collectionneur Mariette Zanetti ou l’électeur de Saxe. Sa renommée la
conduit à voyager : elle se rend à la cour de Modène en 1723 pour faire le
portrait de la famille d’Este, puis à Vienne en 1730 pour faire le portrait
de l’impératrice Amélie ainsi que d’autres membres de la famille impériale.
Son succès est tel qu’elle se voit confier la commande d’une
quarantaine de pastels par le roi de Pologne. Elle est considérée comme
une des premières miniaturistes et le premier peintre qui a lancé la
mode du portrait féminin. Une maladie des yeux finit par la rendre aveugle
et met fin à sa carrière en 1746.
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« Béni soi l’homme qui, n’ayant rien à dire, s’abstient de le
démontrer à haute voix. » George Eliot, Romancière anglaise
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« Ce n’est pas parce qu’un problème n’a pas été résolu qu’il
est impossible à résoudre. » Agatha Christie, Femme de lettres anglaise
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« Mourir est un mal, sinon les Dieux qui l’ont voulu ainsi
mourraient aussi. » Sappho, poétesse grecque
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