Il pensait à sa mère. Il pensait à la manière dont on avait peur de tout détruire. On avait peur de se tromper, de faire punir des innocents. Surtout, on avait peur de tout se prendre dessus, comme un château de sable qu'on aurait soigneusement construit. Alors on remettait des poignées de silence, et de changements de sujet. Et on se croyait délicats, oui, on se disait que d'autres feraient tout s'effondrer.