La nuit se prépare à lever le camp tandis que l’aurore s’impatiente aux portes de la ville. À travers l’échancrure des buildings, on peut voir la zébrure purulente fissurant méthodiquement les basques de l’horizon. C’est une nuit terrassée qui bat en retraite, flouée et abasourdie, encombrée de rêves morts et d’incertitude.