Elle était ma toile à moi, ma consécration majeure. Je ne voyais que les joies qu’elle me prodiguait et ne soupconnais aucune de ses peines, aucunes de ses faiblesses... je ne le vivais pas vraiment, non, autrement je l’aurais moins idéalisée, moins isolée. Maintenant que j’y pense, comment aurais-je pu la vivre puisque je n’arrêtais pas de la rêver?