À l’époque du crime, ils n’étaient pas majeurs. Le code pénal des mineurs les a donc protégés. La presse n’a jamais divulgué leurs visages… Et c’est ainsi qu’aujourd’hui, ils se sont promptement réinsérés dans la société. Je voudrais au moins qu’ils n’oublient pas ce qu’il s’est passé. Car pour la famille de la victime, la tristesse est sans fin.