« Une course se désire puis elle se prépare » écrit Rébuffat. Cette recommandation presque anodine va embraser la vie de François tel un vœu perpétuel. Il va se donner à l'alpinisme comme on entre en religion, avec la foi, la générosité, le mysticisme d'un catéchumène. Désormais, il passera le plus clair de son temps à désirer des courses et à les préparer.