J'ai relu récemment divers textes dont mes parents, naguère, prônaient les auteurs. Ces écrits auraient dû contribuer à améliorer le sort des humains, à satisfaire les aspirations des femmes que, depuis la nuit des temps, le droit coutumier conduit à ne faire qu'acquiescer aux sollicitations des hommes.
Il faudra sans doute que les années s'écoulent nombreuses, que les peuples soient à nouveau agités par de successives convulsions, pour que la femme puisse s'exprimer et qu'une relative égalité soit envisagée entre les deux sexes.