Il faut donc être chrétien pour être bon philosophe : je dis chrétien tout court, qui ne soit d'aucun parti, d'aucune secte, ni janséniste, ni moliniste, ni cartésien, ni gassendiste ; en un mot, je dis simplement catholique, parce que la vérité, qui est une et universelle, ne peut souffrir tout ce qui la borne ou qui la divise. Mais cela ne suffit pas.