Ceci étant, pour être équitable, il est aussi à observer que, globalement, la place des réseaux dans l'histoire de la seconde Guerre Mondiale fait pâle figure au regard de celle des maquis. Sans doute, cela tient à ce que les maquis ont représenté une forme d'activité résistante plus éclatante et plus mesurable que celle des agents des réseaux qui fut, par nature, effacée et souterraine. (P11)