Reviendras-tu me voir un jour, Marcello ?
Alors, ma tante a sorti son carnet de chèques, sans mot dire, ce qui signifiait qu’elle n’attendant pas de réponse à la question, et j’ai compris que mon départ, par contre, lui faisait de la peine. Mais, plus encore, je me rendais compte de mon absence totale de réaction face à sa tristesse. Et je m’en suis voulu de ne pouvoir lui apporter, à cet instant, un minimum de réconfort. » p 130 a - 8