Je me demandais si tout cela serait l'écrin rêvé pour Denise Simon. Surtout, je ne la voyais guère assise bien longtemps sur ces sièges Louis XIII, aux lignes pures, mais si inconfortables ! A cette époque le luxe du foyer n'était pas, comme à la fin du XVIIe et au XVIIIe siècle, associé au confort, sauf pour les lits. La beauté des choses l'emportait sur leur commodité. (p. 89)