Le titre sonne comme un cadavre exquis, en mêlant deux noms connus : “La grande Guerre”, surnom de la Première Guerre mondiale, et “La Guerre des Mondes”, le roman d’HG Wells, un des tout premiers sur le thème d’une invasion extraterrestre. Et c’est bien ce que raconte l’histoire, une transposition du roman dans le contexte de la première guerre mondiale, les extraterrestres débarquent en pleine bataille de Verdun. Français et allemands vont devoir s’allier contre ce nouvel adversaire. Les personnages principaux de l’histoire sont des personnages connus : le professeur Challenger est emprunté à Arthur Conan Doyle (Le monde perdu et quelques autres romans…), Camille Flammarion est un personnage réel, astronome et frère du célèbre éditeur.
Dans ce premier tome, le récit se met en place, mêlant les faits et personnages réels à la fiction d’HG Wells, c’est efficace, cela donne une dimension épique prégnante et haletante, avec un suspense bien soutenu.
Au niveau du graphisme, le style est réaliste, le trait manque cependant de finesse et est un peu embourbé dans la colorisation que je ne trouve pas très réussie. Je pense qu’une version en noir et blanc aurait été bien plus élégante.
Voici déjà un premier tome qui nous met en haleine.
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Cette transposition de “La Guerre des mondes” dans l’univers de la première guerre mondiale est très réussie. J’ai aimé le choix des personnages, mêlant personnages réels au personnages de fiction. Au côté du professeur Challenger (personnage fictif inventé par Arthur Conan Doyle), on retrouve l’astronome Camille Flammarion et dans ce deuxième tome, Albert Einstein vient se rajouter. Association entre les ennemis terriens contre l’invasion martienne qui s’intensifie et avance sur Paris, le suspense est à son comble, les tripodes avancent en massacrant, pendant que nos héros cherchent des solutions, des failles chez l’ennemi commun.
L’intensité et le rythme sont soutenus, entre action et tentatives scientifiques, le récit reste assez proche du roman d’HG Wells, mais le choix des personnages, le contexte de la grande guerre apporte une originalité très appréciable.
Le graphisme est efficace, classique et réaliste, mais je suis beaucoup moins convaincu par la colorisation qui reste pour moi le gros point faible de la trilogie.
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Voilà une lecture qui aura été très plaisante. Elle reprend “La Guerre des Mondes” d’HG Wells pour le transposer pendant la première guerre mondiale, le montage scénaristique, comme adaptation détournée, est très réussi. Pari réussi, et Paris libéré. Il y a du rythme, de l’action, du suspense, dans le pur style de la science-fiction début XXe, avec les savants comme héros. C’est assez classique, mais très efficace, j’ai dévoré cette trilogie.
Le graphisme est réaliste, malheureusement, la colorisation enfonce les images, les dégradés sont systématiques et artificiels, les teintes mal choisies, c’est plutôt raté, ½ étoile en moins pour ça, j’aurais pu être encore plus sévère. Le gros point faible de la BD, c’est la couleur.
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C’est une nouvelle adaptation de notre roman fétiche la Guerre des Mondes de HG Wells. C’est aussi une BD uchronique qui commence en 1914 durant la Grande Guerre. En effet, en voulant faire sauter une mine sous les lignes françaises de Verdun, les Allemands libèrent une machine extra-terrestre qui va prendre contact avec la planète Mars…Très rapidement, le décor est planté et les personnages sont définis. Les Tripodes de Wells sont bien là, et les personnages de l’époque aussi. Du côté Français, Camille Flammarion l’astronome côtoie Charles Guynemer l’aviateur, du côté Allemand Albert Einstein est aussi présent pour rechercher le point faible de nos envahisseurs. Les Martiens progressent sur le front malgré les tentatives des uns et des autres devenus alliées dans l’adversité. L’aspect politico-militaire de l’époque n’est pas oublié et comme dans le roman de Wells, une aide viendra de façon inattendue sauver l’humanité.
Un scénario exemplaire et des dessins propres, le tout donne à l’ensemble une lecture facile et agréable. Les trois tomes se dévorent d’une traite et donnent l’envie d’une suite comme le laisse envisager le cliffhanger de fin.
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Les envahisseurs martiens progressent sur le front malgré les tentatives, parfois couronnées de succès, des alliés et des allemands pour les stopper.
Les premières machines de guerre extraterrestres approchent de Paris.
Une aide viendra peut-être d'une origine inattendue : dans la Toungouska sibérienne une découverte va bouleverser le cours des événements.
Dans ce troisième, et dernier (ou pas ?!) tome de "La Grande Guerre des mondes", nous retrouvons les personnages des deux premiers albums, à savoir le professeur Challenger, création romanesque de Sir A. Conan Doyle, ainsi que Camille Flammarion, astronome (également fasciné par les hantises et la vie après la mort, mais ici, c'est bien l'astronome qui est mis en scène) ou encore Albert Einstein.
Autre personnage ayant réellement existé, l'as de l'aviation, comme on disait alors, Guynemer est mis lui aussi à contribution dans la lutte contre les envahisseurs.
Je ne vous dévoilerais pas l'issue de cette histoire, vous disant simplement que si la fin reste ouverte, ce troisième opus apporte cependant une conclusion à cette version revisitée et "francisée" du célèbre roman de H.G Wells.
Les auteurs, dessinateurs, coloristes, et scénaristes ont conservé une constance dans leur travail, ce qui donne une homogénéité certaine à l'ensemble.
Au final, une série qui pourra vous plaire, si, comme moi, vous avez un faible pour l'imaginaire dans un contexte rétro, en revanche les fans de science-fiction futuriste où la high-tech est omniprésente risqueront de ne pas y trouver leur compte.
Ceci n'étant, bien sûr, que mon opinion personnelle !
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Londres 1913, le professeur Challenger, celui-là même qui ramena un ptérodactyle du Monde Perdu, donne une conférence sur son expédition en Sibérie dans la Toungouska, où le 30 juin 1908 "quelque chose" est tombé du ciel.
Juin 1916, Verdun, les allemands préparent une attaque souterraine contre les français, quand quelque chose les prend de vitesse… La Grande Guerre des mondes commence.
Le premier album d'une série de trois, plante le décor ; le front français d'où va partir une invasion martienne.
Les influences évidentes, H.G.Wells est cité et même présent dans le récit, sont assumées, et des personnages historiques, tels que Camille Flammarion, astronome célèbre, participent au récit.
D'ordinaire, je ne suis pas très fan du style réaliste en BD, je fais donc ici une petite exception.
Vladetic, le dessinateur, semble plus à l'aise avec les machines, les bâtiments et les décors, qu'avec les personnages qui sont parfois un peu figés et manquent d'expression (on sent le "recopiage" de photos), mais cela ne nuit pas à l'ensemble qui reste d'une lecture agréable.
Ce premier tome se conclut sur la première véritable attaque martienne, à suivre donc...
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Dans ce deuxième tome, la menace martienne se précise quand les extraterrestres passent à l'attaque sur le front franco-allemand et laissent les belligérants désemparés face à leur puissance de destruction, et leur apparente invulnérabilité.
Toujours avec le concours du professeur Challenger, Camille Flammarion, bientôt rejoint par Albert Einstein côté allemand, cherche à en apprendre plus sur les envahisseurs, afin de trouver, au propre comme au figuré, le défaut de la cuirasse.
Je ne suis pas plus fan du dessin, mais le scénario me plait beaucoup pour ses aspects fiction historique, et science-fiction rétro, en outre, l'idée de mettre en scène des personnages ayant réellement existé, comme Einstein ou Raspoutine, qui intervient vers la fin de l'album, et un personnage de fiction -Challenger-est intéressante.
A voir la suite (et fin ?) dans le tome 3.
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D'ordinaire, je ne suis pas grand fan d'uchronies, et quand c'est mélangé à de la SF, c'est encore plus compliqué pour moi.
Mais Millénaire, du même scénariste, qui m'était tombé entre les pognes un peu par hasard, m'avait bien plu avec son histoire d'extra-terrestres au moyen-âge. Il est vrai que Richard D. Nolane est un peu le spécialiste français de ce genre bien particulier, avec sa (longue) série Wunderwaffen.
Ce premier épisode d'une trilogie est ma foi plutôt réussi, malgré quelques petits soucis locaux et passagers d'enchaînements narratifs. J'ai été un peu surpris par l'intro dont je n'ai pas vraiment vu l'utilité, mais ma foi, comme elle ne dure que deux pages, ce n'est pas très grave.
Les dessins sont de très bonne facture et se mettent au service d'une bonne adaptation où l'on croise même le véritable HG Wells, entre autres.
Il manque peut-être un héros auquel s'attacher plus particulièrement.
Petite anecdote, j'ai beaucoup aimé que le général Nivelle - montré comme lâche et veule - se fasse atomiser par une mine dès le début de l'album. Je suppose que Nolane voue le même "culte" que moi au boucher du Chemin des Dames, et s'est vengé en lui faisant un sort.
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J'avais hâte de lire cette grande guerre des mondes qui est une libre adaptation du roman de H.G.Wells. L'attente était grande de ma part mais le résultat de cette bd uchronique et un peu steampunk n'est pas tout à fait à hauteur de mes espérances. Cela commence de manière assez timide sans doute pour placer les pions de cet échiquier géant. Bref, c'est un premier tome d'exposition sans plus.
C'est tout de même assez originale de se placer au cours de la Première Guerre Mondiale pour faire évoluer ce classique fantastique de la littérature britannique. J'ai tout de même hâte de connaitre la suite où le rythme doit théoriquement s'accélérer dans le cadre de cette nouvelle trilogie. L'invasion va commencer et cela ne fera pas dans la dentelle. Albert Einstein est même rappelé en renfort. C'est dire!
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Alors que les allemands et les alliés sont à la recherche de Saxhauser et de sa mystérieuse découverte, celui ci découvre que les extra terrestres vivent depuis très longtemps sur Terre. Leur planète va être détruite par leur soleil et ils n'ont plus le choix ; ils doivent s'implanter ailleurs et la Terre répond à leurs attentes. Une question les divise : que faire des terriens batailleurs et moins évolués? Les anéantir ou cohébiter? L'entité rencontrée par Saxhauser est partisan de la deuxieme solution à condition que les humains ne mettent pas la main sur des armes nucléaires. Or les américains vont démarrer l'opération Manhattant et les allemands ont compris que la technologie découverte par Saxhauser pourraient les aider à gagner la guerre.
Science fiction et nazis, ce n'est pas la première fois que l'idée est exploitée mais ici elle l'est plutôt bien. Le héros, allemand, un affidié d'Hitler de la première heure, mais revenu des idées mortifères des nazis.
Un dessin classique et précis, une intrigue bien menée. Intéressant.
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(LX971) Une déception pour ce 1er tome bien trop classique pour un sujet improbable. L'intrigue et les dialogues dignes d'un péplum (bavard) ne sont guère captivants. Et le dessin d'un autre temps n'est pas à la hauteur de la couverture. Dommage car l'idée de départ n'était peut-être pas mauvaise...
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