Ah, les arrosages dans la fonction publique territoriale...
Nous sommes, avant même d'être des glandeurs patentés, de bien joyeux lurons.
Parfaitement.
Nous adorons faire la fête, croquer la vie a pleines dents, célébrer les petits bonheurs du quotidien, finir dignement nos journées à la limite du coma éthylique et de l'indigestion... le tout aux frais du contribuable.
Cela dit, si ces épisodes hautement festifs avaient lieu à d'autres moments que sur nos horaires de boulot, je doute que nous les trouvions aussi attractifs, mais comme il n'en est évidemment rien, les pots et les apéros constituent une excuse sans cesse renouvelée pour ne rien faire.
Or ne rien faire est encore ce que nous faisons le mieux. Nous sommes les champions de l'accomplissement dans le néant ou de la réalisation dans l'apathie.