La Ville Lumière se trouvait visiblement sur une autre planète que celle qui se meurt parce qu’on achète trop, parce qu’on consomme trop et parce qu’on fait tout n’importe comment. Paris semblait crier depuis chacune de ses vitrines où les « fêtes » laïques avaient remplacé celle de la Nativité que l’excès n’était pas une raison d’avoir honte, mais que c’était au contraire une vertu, une bénédiction et le but de toute la création.