Beaucoup de femmes qui s’engagèrent dans les rangs de la Commune ne semblent pas y avoir été poussées par des motifs idéologiques. Certaines se contentèrent d’accompagner leur mari ou leur amant dans les rangs des fédérés. Mais d’autres, au contraire, accomplirent, pour la première fois, un acte politique, participèrent, pour la première fois, à la vie politique, dont elles avaient toujours été exclues.