Ainsi s’éteignit la flamme qui n’avait brillé que pour nous.
Notre mère avait été toute sa vie notre refuge, notre protection contre nos peines, la source intarissable de nos joies.
Comme les mères de tous les pays ont pu souffrir pendant
cette guerre ! Combien, hélas ! tombèrent, épuisées, terrassées par l’angoisse avant d’être arrivées au terme de ce long calvaire.