« Enfin, à la mer. Là seulement on est un peu tranquille. » C’est la bonne odeur humide qui vient de la houle, vous prend aux narines et vous pique à la gorge ; c’est le bruit des lames qui tapent contre les tôles et les font vibrer. Les chaînes des ancres, dans le puits, se tassent peu à peu avec des heurts sourds, et le navire neuf s’étire, craque, gémit, les cloisons de bois se fendent, la peinture s’écaille.
(p. 141, Chapitre 2).