La jeune fille berçait sa tristesse en jouant les valses de Chopin. Son jeu nerveux, vibrant, personnel en dégageait avec force l'inquiétude haletante : sous ses doigts, plus ardents qu'exercés, un tumulte de rythmes violents, de sons et de cris qui par moments semblaient des voix humaines, exprimaient les tempêtes d'une âme démontée.
Quatrième partie
Chapitre I